Saint Benoît-Joseph Labre
Deux livres édités pas Stéphane Ternoise dans le cadre du "Retour aux sources"
1)
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Vie Benoît-Joseph Labre mort à Rome en odeur de sainteté par Joseph Marconi son directeur spirituel, réécriture en 2025.
Traduction initiale Maximilien Harel en 1784
Une nouvelle édition avec un véritable travail éditorial...
La traduction réalisée en 1784 par Maximilien-Marie Harel figure dans le stock des documents numérisés par la BNF, afin d’enrichir les industriels de l’édition traditionnelle et leurs inféodés. Une procédure automatique, du « fac-similé », un travail de sagouins, de la photocopie de pages dégradées par le temps, aux nombreuses traces amplifiées par la reproduction, dans l’état du français d’alors…
Stéphane Ternoise a réalisé un véritable travail de lecture réécriture en orthographe actuelle, et des précisions insérées, entre crochets, pour bien les distinguer, et permettre une compréhension intégrale même sans connaissance du contexte. Une postface expose les éléments essentiels de la Vie, Sainteté, de Benoît Joseph Labre, avec le recul de bientôt trois siècles après sa naissance, à Amettes, en 1748. En attendant, peut-être, une « véritable biographie », quelques petites révélations, des éléments encore censurés, de fait, par les prétendus grands historiens, comme sa plus proche parente à l’époque des cérémonies de Béatification, 1860, et Canonisation, 1881, dont elle fut exclue, Augustine Labre, dernière nièce de Benoît, née « hors mariage » en 1851 à Hestrus, décédée "seulement" en 1922 à Arras, quatrième fille de son filleul Augustin baptisé en 1768, avec sa jeune domestique...
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Vous trouverez "Vie Benoît-Joseph Labre mort à Rome en odeur de sainteté par Joseph Marconi son directeur spirituel, réécriture en 2025 par Stéphane Ternoise" (Traduction initiale Maximilien Harel en 1784)
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TABLE GLOBALE
- Giuseppe Loreto Marconi, Joseph Marconi
- Inconnu de notre époque
- Maximilien-Marie Harel
- Guillot, l’éditeur
- Vie de Benoît-Joseph LABRE Mort à Rome en odeur de sainteté. Traduit de Italien de M. MARCONI par Maximilien Harel. Révision et commentaires de Stéphane Ternoise
CHAPITRES
I Naissance du Serviteur de Dieu : son enfance et son éducation
II Occupation du Serviteur de Dieu, dans son enfance
III Premières études de Benoît-Joseph
IV Adolescence de Benoît-Joseph, sa conduite sous la direction de son oncle ; sa première Communion
V Sentiments d’estime que l’Oncle, les Maîtres et les Condisciples du Serviteur de Dieu, conçurent pour lui
VI Le Serviteur de Dieu retourne dans la paroisse d’Érin, où il demeure jusqu’en 1766
VII Retour de Benoît-Joseph chez ses parents ; nouvelles tentatives pour en obtenir la permission de se rendre à la Trappe
VIII Nouveaux obstacles que le Serviteur de Dieu éprouve dans son dessein d’entrer en Religion, tant de la part de ses parents que chez les Chartreux de Longuenesse et de Montreuil
IX Le Serviteur de Dieu retourne à Amettes ; Nouvelles contradictions qu’il y éprouve pendant deux ans
X Benoît-Joseph, s’applique à l’étude de la Philosophie, et du Chant Ecclésiastique ; Sa conduite cher M. Dufour, alors Vicaire de Ligny, et actuellement Curé d’Auchy-au-Bois
XI Le Serviteur de Dieu est admis au noviciat dans la Chartreuse de Montreuil ; Sa sortie de cette maison
Lettre 1 du Serviteur de Dieu à ses parents, de Montreuil
XII Le Serviteur de Dieu se rend de Montreuil à la Trappe, et de cette Abbaye à celle de Sept-Fonds, où il est reçu ; Le temps qu’il y demeure, et son départ de ce dernier monastère
XIII Pèlerinages entrepris par Benoît-Joseph
XIV De la manière dont le Serviteur de Dieu vécut à Rome, depuis qu’il y eut fixé sa demeure
XV Dernière année de la vie du Serviteur de Dieu
XVI Mort du Serviteur de Dieu
XVII Des choses extraordinaires, arrivées quelque temps auparavant, ou aussitôt après la mort du Serviteur de Dieu Recueil de plusieurs pièces pour servir à la vie du Serviteur de Dieu
Lettre écrite par Benoît-Joseph Labre, le 31 août 1770
Lettre de Joseph Marconi au père de Benoît-Joseph Labre, du 28 septembre 1783
Procès-verbal dressé le jour de Pâques
Observation par l’abbé Harel sur le recueil de la vie de Benoît-Joseph Labre
- Benoît-Joseph Labre, périodes d’une sainte vie par Stéphane Ternoise
- Document Les Canonisations par Auguste Roussel dans L’Univers du 9 décembre 1881
2)
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Saint Benoît-Joseph Labre Retour aux sources. Stanislas Decroix, curé d’Amettes, complète en 1839 le témoignage de l’abbé Marconi, dernier directeur spirituel, premier biographe.
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Saint Benoît-Joseph Labre
Né le 26 mars 1748 à Amettes, Pas-de-Calais.
Pèlerin en quête de l’essentiel, la réalité ultime.
Ni mendiant ni vagabond, vivant de très peu, d’aumônes.
Mort saintement à Rome le 16 avril 1783 et inhumé dans l’église de Sainte-Marie-aux-Monts.
Béatifié le 20 mai 1860.
Canonisé le 8 décembre 1881.
L’un des Saints les plus populaires, priés, invoqués, dont l’intercession réalisa d’innombrables miracles.
Ridiculiser sa pauvreté absolue, son manque d’hygiène (à une époque où le bain était une exception dans une vie) a permis de détourner le peuple de sa hauteur spirituelle. Le triomphe du matérialisme sur la spiritualité.
La lecture des biographies "modernes" m’a persuadé d’un nécessaire retour aux sources.
Connaître l’oeuvre de Stanislas Decroix (1785-1870) constitue une étape importante dans la compréhension de Saint Benoît Joseph Labre.
Et 2 cartes postales de Benoît-Joseph Labre
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Saint Benoît Labre vidéo du Pas-de-Calais